Je mets mes vêtements de course par cette chaude journée. Il fait presque 20 degrés, et cela au printemps. Aujourd’hui je vais à la campagne, juste derrière mon quartier résidentiel.
Je ne cours pas pour rien parce que je pense que je peux me serrer un peu la peau. Je sors à peine de ma porte et marche sur un trottoir entre 2 rangées de maisons. C’est le chemin étroit vers la zone extérieure. Les carreaux tordus me font trébucher et me fouler la cheville. J’étais juste en train de me vider la tête, pensant que je suis prêt pour une autre bonne baise et puis ça arrive. ça ne me dérange pas..
Je trébuche et trébuche jusqu’à l’arrêt. Il y a un mur sur le trottoir contre lequel je m’appuie. Je voulais me déconnecter pendant un certain temps, donc je n’ai pas de téléphone avec moi. Je ne peux pas faire un pas de plus, ça fait trop mal. Je regarde autour de moi, je ne vois personne. Jusqu’à ce que j’entende un coup.
Je te verrai depuis la fenêtre de mon garde-manger. Je frappe à la fenêtre et montre une compresse froide que j’ai rapidement attrapée. Je fais signe à ma porte arrière.
Je trébuche vers la porte arrière de cet homme étrange. Malheureusement la porte est verrouillée, je dois attendre un peu.
Je t’entends à ma porte de derrière et me précipite vers elle.
J’entends la serrure de la porte et tu l’ouvres. Tes yeux se colorent avec ta chemise. Ils sont bleus. Votre chemise aussi. Des millimètres de cheveux et une barbe. Tu es mignon! Tu me regardes et dis :
“Je t’ai vu trébucher et ça n’avait pas l’air bien. J’ai vu que vous aviez mal et que vous avez probablement besoin de vous rafraîchir. Prends juste cette compresse froide. Ou préférez-vous vous reposer avec moi pendant un moment ? »
Je rougis à ton invitation. Tu es mignon et ma pensée du sexe n’a pas disparu avec le voyage. J’essaie de me lever et de faire un petit pas vers toi pour affronter la compresse froide. En faisant cela, je traverse à nouveau ma cheville douloureuse et je tombe contre ta poitrine.
Mes mains se posent sur ta poitrine et nous nous regardons un instant. J’ai de nouveau une couleur sur mes joues. Je dis : “Je ne vais pas bien en ce moment. Ça te dérange si je me repose avec toi pendant un moment ?